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Archive for novembre 2009

Jeudi 10 décembre à 20h au Cinéma des Carmes


La projection du film « Walter, Retour en Résistance » sera suivie d’un débat avec

Gilles Perret – réalisateur du film
Benoît Hamon – Porte parole du Parti Socialiste
Pierre Khalfa –  membre du Conseil scientifique d’ATTAC France

A travers l’histoire de Walter, ancien résistant, ancien déporté haut-savoyard et sur fond de politique actuelle, deux questions se posent tout au long du film :
- « Qu’avons-nous fait des idéaux du Conseil National de la Résistance ? »
- « Résister se conjugue-t-il au présent ? »

Voir la bande-annonce.

Résumé du film :

Le nom de  « Walter » et le mot « résistance », Gilles Perret les a toujours associés. Avant même de savoir ce que cela signifiait, Gilles savait que son voisin Walter avait été déporté dans un camp de concentration du nom de Dachau …

Aujourd’hui Walter Bassan a 82 ans. Il vit avec sa femme en Haute-savoie, et mène une vie pour le moins active. D’écoles en manifestations, de discours engagés en témoignages de la guerre, Walter continue son long combat, fait de petites batailles,  contre toutes les formes de démagogies, d’injustices et d’oppressions. De même que lorsqu’il avait 18 ans, et qu’il « jouait » comme il dit, à distribuer des tracts anti-fascistes dans les rues commerçantes d’Annecy alors occupée, Walter agit en écoutant son cœur. « Je n’ai pas changé », comme il se plait à rappeler.

Partageant ces mêmes « raisons du cœur », Gilles Perret réalise ici un portrait vivant de cet homme calme et insurgé. Nous sommes invités à les suivre en passant du Plateau des Glières à Dachau, à faire des retours en arrière pour mieux comprendre l’Histoire, à partager leurs inquiétudes face à un monde où l’inégalité et l’injustice gagnent sans cesse du terrain, à poser les questions qui fâchent…

Sans prétention, et avec la même simplicité et constance que Walter, ce documentaire révèle l’actualité, l’importance, et la nécessité, d’une résistance au quotidien.

Les réactions positives et négatives lors de la sortie du film

 

PAF : 6 euros (Gratuit pour les adhérents socialistes d’Orléans ayant réservé…)

Cette  soirée ciné-débat est co-organisée par ATTAC 45 par le PS d’Orléans

 

Faites circuler l’information et Venez nombreux…

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Ci-dessous mes réponses aux questions du Blog « Un grand club de foot à Orléans »

Dans son dernier classement des villes les plus sportives de France, le journal l’Equipe a placé Orléans à une très modeste 32ème place. La réussite de l’Entente au basket ne masque-t-elle pas la faiblesse des sports collectifs orléanais ?

Baptiste Chapuis : Il ne faut pas opposer les sports entre eux. Rien n’empêche le développement d’un club de Foot et d’un club de Basket dans une ville comme Orléans. Le classement du journal l’Equipe est un révélateur du manque d’ambition d’Orléans vis-à-vis des autres sports (collectifs ou non).

Que vous inspire la première place actuelle de l’US Orléans en Championnat de France Amateur et ses fortes chances de monter en National ?

B.C. : De la fierté. Ce club a un gros potentiel. La motivation de ses bénévoles, de ses joueurs, de son staff sont les atouts de ce groupe. Un des atouts est également le gros travail effectué en direction des équipes de jeunes, un travail récemment reconnu. L’équipe doit néanmoins conforter ces bons résultats et tenir toute la saison sur ce rythme.

Avec un stade ne comportant désormais plus qu’une tribune de 1800 places assises, et des jeunes contraints de jouer hors de l’AgglO, ne pensez-vous pas que le club risque d’être confronté à de sérieux problèmes d’infrastructures en cas de progression de l’équipe première ?

B.C. : Je regrette que la majorité municipale ne permette pas le développement de ce club. Les résultats sportifs sont au rendez-vous, la municipalité doit remplir son rôle.

On a assisté ces derniers mois à l’arrivée de gros investisseurs à la tête du club, pensez-vous qu’il y ait la place pour un club de football de très haut niveau à Orléans ?

B.C. : Je pense que le Foot à Orléans a eu une histoire, et qu’il faut maintenant écrire son avenir ! Les financeurs privés, la direction du club, les joueurs et la municipalité doivent construire ensemble un projet cohérent et ambitieux. La mobilisation de tous ces acteurs est indispensable.


Je vous invite à Signer la pétition et à rejoindre le groupe Facebook

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Communiqué de presse

Couvre feu pour les mineurs : l’exemple d’Orléans démontre la démagogie et l’inefficacité de la proposition

A l’instar de l’adjoint orléanais à la sécurité, père des arrêtés « anti-mineurs-le-soir-dans-les-rues-l’été-dans-certains-quartiers », Brice Hortefeux, le ministre de l’Intérieur a jeté en pâture médiatique pré-éléctorale l’idée d’un couvre-feu pour les mineurs délinquants de moins de 13 ans. Comme une double peine en quelque sorte. Punis pour avoir commis des délits, ces jeunes seront de surcroit privés de sortie. Cette attitude puérile pourrait prêter à sourire si elle n’était pas aussi inefficace que dangereuse.

Une inefficacité démontrée par l’exemple orléanais qui va pourtant plus loin que le projet du ministre de l’intérieur : dans la capitale de la région Centre, ce sont tous les enfants de moins de 13 ans issus de certains quartiers, délinquants ou pas qui sont a priori suspects.  Les faits sont têtus, le couvre feu orléanais n’a concerné qu’un à deux jeunes chaque été depuis 2001.

Mais l’idée est également dangereuse car elle stigmatise une fois de plus une jeunesse qui serait par définition à surveiller et à enfermer. Alors même que la délinquance des mineurs n’augmente pas, elle entretient un sentiment d’insécurité et une méfiance à l’égard de la jeunesse en général.

On ne fera pas de réelle et efficace prévention de la délinquance en augmentant la pression policière et la suspicion. De plus, cette proposition s’inscrit dans un contexte particulier où le budget 2010 entrainera une réduction des effectifs de police.

A l’inverse, nous proposons de donner et redonner aux professionnels et services compétents (éducateurs de rue, protection judiciaires de la jeunesse…) les moyens que des coupes budgétaires successives leur ont peu à peu retiré. Nous souhaitons également un retour de la police de proximité qui effectuait un réel travail au quotidien avec ces jeunes.

L’exemple orléanais devrait suffire à M. Hortefeux pour comprendre la démagogie et l’inefficacité de ce dispositif sécuritaire.

Baptiste CHAPUIS

Conseiller Municipal d’Orléans (PS)

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