Je continue mon tour du Web 2.0 avec FaceBook. C’est un site web pour rassembler un réseau social au départ uniquement pour rassembler les étudiants de Harvard. Le projet s’est étendu, étendu, étendu… (mai 2007 ouverture à tous) On y retrouve il parait d’anciens amis, des collègues de bureau, des camardes de sport…
Bon, historique mis de côté, je me lance dans l’inscription. Comme twitter l’interface est tout en anglais. Ok j’arrête mon anglophobie…
Je m’inscris, reçois le mail de confirmation et c’est tout …bou… j’ai pas le droit à de la musique ? une vidéo d’explication ? Bon je continue, une fois validé, je découvre peu à peu. Il y a bien entendu mon profile que je peux mettre à jour mais aussi un nombre considérable de groupe auquel je peux appartenir. Il existe déjà un groupe de soutien à la candidature de Jean Pierre Sueur pour Orléans 2008. Je m’inscris peu à peu à de très nombreux groupes certains sérieux et d’autres complètement loufoque. A vous de les découvrir sur mon profil.
Je continue mon petit tour et là je découvre que bon nombre d’amis sont déjà inscrit. Je me perds un peu dans le nombre important de groupe et de profils visités. Je m’attarde sur les profils connus de personnalités politiques, culturelles…
Je me pose alors une question , cela ressemble étrangement à Copains d’avant. On s’y retrouve en grande partie. Lycée, école, université fréquentée, association, boulot… Tout y est, étonnant ? Mais il est vrai que Facebook est à la mode. Il faut l’avouer ce site est le site du moment où il faut être. Par exemple, tous les candidat(e)s aux municipales des grandes villes y ont leur profil et leur groupe, les acteurs, les présentateurs TV également.
En conclusion, on peut dire que ce site est une bonne idée pour retrouver des anciens amis et garder le contact, mais c’est surtout un énorme coup commercial. Grâce à ce site où l’on dévoile ses goûts et son parcours et indirectement son pouvoir d’achat, un fichier commercial bien détaillé peut être revendu à prix d’or. Sans compter l’apparition de publicité ciblée sur le site en lui même. Sacré Web 2.0…
nb: Désolé pour le titre, ça fait un peu Martine découvre Facebook…